Fermeture ce jeudi
Nos magasins seront fermés ce jeudi, jour férié, et nous ne faisons pas le pont, on vous retrouve dès vendredi.
Nos magasins seront fermés ce jeudi, jour férié, et nous ne faisons pas le pont, on vous retrouve dès vendredi.
En cette période de déconfinement, petite mise à jour sur les mesures en vigueur dans nos magasins:
Plus d’infos et questions fréquemment posées
Merci pour votre coopération et vos sourires qu’on devine sous les masques, on continue à faire de notre mieux !
Cette semaine dans nos magasins, qui restent ouverts comme d’habitude…
Plein de délicieuses fraîcheurs chez nos producteurs: laitues, radis, oignons ciboules, mesclun… De quoi se régaler de salades en tous genres!
Fin des poireaux chez notre producteur La Ferme de l’Abbaye de Boneffe, ils reviendront cet été. Plus de carottes de conservation non plus, on attend de nouvelles carottes en bottes
Bien que ce ne soit pas encore la saison en Belgique, vous trouverez des courgettes, aubergines, poivrons et tomates dans nos magasins. Ils sont produits par de petits producteurs de la coopérative espagnole Guadalhorce (sauf les tomates cerises qui viennent de Valdibella en Sicile). Ces producteurs respectent nos valeurs: projet agricole durable (nous les avons rencontrés), à taille humaine, sans produit chimique et même labellisé bio. En savoir plus sur la raison de notre choix
Des fraises bio de Julien Vandeclee (Houtain-Saint-Siméon) en ravier de 250g, ainsi que de la rhubarbe
Toutes les bonnes choses ont une faim, même les pommes de terre: avant de passer commande en Espagne, il nous reste un stock de patates fermes (vrac ou sacs de 3kg) de Joël Ruth à écouler avant qu’elles ne germent, on compte sur vous #purée #frites (voir aussi notre Réflexion sur la saison des pommes de terre)
Ramenez vos boîtes d’œufs en magasin, ça devient difficile d’en trouver #zerodechet #zerowaste
Belle semaine à toutes et tous!
Cette semaine dans nos magasins, qui restent ouverts comme d’habitude…
De bonnes primeurs chez nos producteurs: laitues, radis, oignon frais, scarole, endive…
Des fraises bio de Julien Vandeclee (Houtain-Saint-Siméon) en ravier de 250g, ainsi que de la rhubarbe
Toutes les bonnes choses ont une faim, même les pommes de terre: avant de passer commande en Espagne, il nous reste un stock de patates fermes (filets de 3kg) de Joël Ruth à écouler avant qu’elles ne germent, on compte sur vous #purée #frites (voir aussi notre Réflexion sur la saison des pommes de terre)
Ramenez vos boîtes d’œufs en magasin, ça devient difficile d’en trouver #zerodechet #zerowaste
Belle semaine à toutes et tous!
La saison de la pomme de terre comprend deux périodes:
Chez nos producteurs, vu la taille des exploitations, elles sont conservées dans des granges ou des caves. Vers avril, elles commencent à flétrir et ne sont plus vendables si on ne les écoule pas rapidement (ce qui est le cas avec notre appel à acheter des filets de Joël Ruth).
Chez d’autres producteurs, notamment les industriels bio des Pays-Bas, elles se vendent plus longtemps car gardées au frais dans des grandes chambres froides.
En agriculture conventionnelle, on en trouve encore plus tard parce qu’un produit chimique qui empêche la patate de germer est utilisé.
Du coup, en attendant les patates belges primeurs, nous importerons (pendant 2 mois) des pommes de terre étrangères (Espagne ou Italie, en fonction de la météo). Elles arriveront par camion avec d’autres produits que nous importons déjà de la même région (fruits surtout pour le moment), l’impact carbone au kg de produit est donc plus faible.
Ce n’est pas parce qu’elles viennent de plus loin que nous sommes moins attentifs au projet agricole: celles d’Italie sont cultivées par Alessandro Scibetta (petit producteur qui fait partie de la coopérative sicilienne Valdibella, engagée pour une agriculture durable et contre la mafia locale) et celles d’Espagne par Guadalhorce, coopérative espagnole qui regroupe une trentaine de petits producteurs dont les pratiques agricoles sont aux antipodes du « bio espagnol industriel » dont on entend souvent parler.
À la question « Pourquoi importer et ne pas vendre exclusivement des produits locaux ?« , nous répondons qu’importer des produits dont la saison est terminée en Belgique permet de soutenir les producteurs locaux en continuant d’approvisionner nos magasins et donc nourrir nos clients. Plus d’infos dans cet article avec l’exemple des tomates.
Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à nous contacter ou nous interpeller en magasin, nous sommes là pour vous renseigner.
Cette semaine dans nos magasins, qui restent ouverts comme d’habitude…
Nos producteurs ont besoin de votre aide pour manger leurs verdures qui poussent bien vite grâce aux chaleurs précoces: laitues, roquette et cerfeuil surtout
Premières fraises bio de Julien Vandeclee (Houtain-Saint-Siméon), faites passer le mot!
Les Pousses Poussent nous ont livré leurs premiers produits, à déguster principalement dans notre magasin de Sainte-Walburge, situé à 1,5km du champ – du circuit ultra-court! Découvrez leur histoire
Toutes les bonnes choses ont une faim, même les pommes de terre: avant de passer commande en Espagne, il nous reste un stock de patates fermes (filets de 3kg) de Joël Ruth à écouler avant qu’elles ne germent, on compte sur vous #purée #frites (voir aussi notre Réflexion sur la saison des pommes de terre)
Ce vendredi, jour férié, nos magasins seront fermés
Ramenez vos boîtes d’œufs en magasin, ça devient difficile d’en trouver #zerodechet #zerowaste
Belle semaine à toutes et tous!
Après les ventes record enregistrées juste avant le confinement, les magasins de la coopérative Les Petits Producteurs (produits locaux et/ou bio) restent ouverts aux horaires habituels; la clientèle est fidèle au rendez-vous et de nouveaux clients poussent régulièrement la porte des trois magasins situés à Liège.
Des mesures d’hygiène ont été progressivement mises en place: nombre de personnes limité, placement de plexis aux caisses, désinfection régulière, lavage des mains obligatoire à l’entrée, paiement par carte uniquement et bientôt des masques pour l’équipe. Ces adaptations ont été bien accueillies par la clientèle et sont régulièrement adaptées en fonction de l’évolution de la situation.
Sur le terrain par contre, les producteurs sont impactés différemment en fonction de leur activité.
Chez les maraîchers et les arboriculteurs, le début du printemps est une période très chargée: c’est le moment de faire les semis et plantations. Or le confinement rend l’accès aux champs plus difficile puisque les ouvriers ne peuvent se déplacer que par deux en camionnette. Alors qu’il y a beaucoup de travail et qu’en plus la demande augmente fortement (dans les magasins de la coopérative mais aussi en vente directe à la ferme), la main d’œuvre manque.
Les ouvriers saisonniers étrangers ne passent plus la frontière et les stagiaires, aide non négligeable, ne peuvent plus travailler.
“Nous ne sommes plus autorisés à continuer notre stage sur le terrain, par contre nous pouvons y retourner en tant que cueilleurs rémunérés, explique Loïc, ancien vendeur qui suit maintenant une formation en maraîchage. C’est illogique parce que cela représenterait un coût supplémentaire pour le producteur alors que nous sommes là pour apprendre, gratuitement.”
“Plusieurs personnes nous ont contactés pour proposer leur aide chez nos producteurs, explique François Olivier, chargé de communication chez Les Petits Producteurs, mais employer des bénévoles dans les cultures est actuellement puni d’amende (19.000€)”. Par ailleurs, une plateforme régionale a été lancée pour mettre en lien l’offre et la demande de travailleurs saisonniers.
Du côté des éleveurs, l’augmentation de la demande en magasin permet de compenser les pertes de ventes vers l’horeca et les écoles. Même constat chez les brasseurs: la Brasserie Coopérative Liégeoise a perdu jusqu’à 70% de son chiffre d’affaires à cause de la fermeture de l’horeca et des événements. Ils ont donc lancé la Badjawe en 33cl plus tôt que prévu et l’écoulent en circuit court via les magasins locaux, “sans quoi nous serions déjà fermés, explique Stany Herman, c’est la preuve que le modèle local basé sur la solidarité avec les producteurs fonctionne”.
Quant aux producteurs d’œufs, “la Ferme des Coudriers s’arrache les cheveux pour nous fournir car la demande augmente, explique Pascal Hennen, gérant chez Les Petits Producteurs, or les poules ne peuvent pas pondre plus pour la cause. Pour compléter, un nouveau lot de poules nous permet d’avoir des œufs de poulette, de plus petit format.” La situation est similaire chez Agribio, coopérative céréalière, qui peine à livre les quantités demandées.
Au final, le secteur des producteurs locaux est sous pression par une hausse de la demande conjointe au lancement de la saison dans des conditions compliquées (déplacement du personnel, contrôles sur les routes…). Or, déjà avant la pandémie les producteurs locaux étaient en crise puisqu’ils ne peuvent actuellement pas vivre de leur travail.
Depuis sa création, la coopérative Les Petits Producteurs met tout en œuvre pour les soutenir: non négociation des prix, investissements logistiques (enlèvement sur le terrain plutôt que livraison), engagement commercial à long terme, solidarité entre les acteurs de l’écosystème (échange de matériel, de savoir), mise en avant auprès du grand public, soutien à l’installation de nouveaux producteurs…
“On espère donc que les personnes qui ont changé leurs habitudes continueront de soutenir le circuit court après la pandémie, continue Pascal Hennen, pour soutenir les projets agricoles et ainsi relocaliser notre alimentation.”
Contacts
François Olivier, chargé de communication – francois@lpp.coop
Cette semaine dans nos magasins, qui restent ouverts comme d’habitude…
Profusion de navets primeurs en botte, oignons ciboule, roquette et mesclun (un petit coup de main à La Bourrache ne serait pas de refus pour écouler leurs 20kgs)
Des champignons “pieds bleus” de Dirk, producteur à Kanne (voisin de l’ami Théo Jodogne) qui a besoin de soutien après avoir perdu sa clientèle horeca, on est là #jesoutienslespaysannes
Si vous avez de la chance, peut-être les premières asperges vertes ou les premiers choux raves; par contre pas de radis et peu d’épinards cette semaine
Vous avez commandé un poulet? N’oubliez pas de venir le retirer ce vendredi (ou de nous prévenir si vous venez un autre jour pour qu’on le mette de côté)
Nouveauté côté charcuterie, on vous en dit plus bientôt… D’ailleurs, le très apprécié pâté rustique revient ce vendredi
Découvrez le « foulomètre LPP »: pour éviter la foule et les files, choisissez le meilleur moment pour faire vos courses en fonction des heures d’affluence, à découvrir ci-dessous
Belle semaine à toutes et tous!
Cette semaine dans nos magasins, qui restent ouverts comme d’habitude…
Des laitues principalement de Joël Ruth (Ében-Émael) et quelques unes de la Ferme au Moulin (Remicourt), des épinards et les premiers oignons ciboule et navets primeurs de Julien Vandeclee (Houtain-Saint-Siméon)
Bientôt les premières asperges vertes, encore un peu de patience… En général, elles arrivent début mai, la météo très clémente et l’humidité dans le sol en profondeur les font pousser plus vite.
La saison des pommes est terminée… Par contre nous en avons encore en différents jus:
Comme ça vous saurez tout sur nos jus de pommes !
Les cloches ont été gourmandes? Nous avons encore des œufs en chocolat bio et équitables, dont 30% du prix de vente reviennent à Autre Terre pour financer des projets d’accès à l’eau potable au Burkina Faso
Avez-vous goûté nos nèfles du Japon? Contrairement à ce que le nom de la variété pourrait suggérer, ils nous viennent des environs montagneux de Malaga, en Espagne. Cultivés en bio à flanc de colline par un petit producteur, ils se mangent avec la peau, comme des abricots (nouvel arrivage vendredi). Découvrez l’histoire de Carlos
Il est encore possible de commander votre poulet fermier en magasin jusque samedi, toutes les infos sur http://lpp.coop/poulet
Belle semaine à toutes et tous!
Cette semaine dans nos magasins, qui restent ouverts comme d’habitude…
Belle semaine à toutes et tous!